Mémoires et thèses

Une maison au bord du vide suivi de Détours

×

Message d'erreur

  • Notice : Undefined index: node dans rc_preprocess_html() (ligne 39 dans /var/aegir/platforms/drupal-7-2013.11.27-dev/sites/recherche-creation.aegirnt2.uqam.ca/themes/rc/template.php).
  • Warning : Illegal offset type dans drupal_add_js() (ligne 4210 dans /var/aegir/platforms/drupal-7-2013.11.27-dev/includes/common.inc).
×

Message d'état

  • Active context: noeud_biblio_bibliographie
  • Active context: noeud_biblio_documents
  • Active context: biblio_pas_issue_de_memoire_these
Retour
TitreUne maison au bord du vide suivi de Détours
Type de publicationThèse ou mémoire
Année de publication2015
Auteur·e·sVirginie Blanchette-Doucet
Supervision de rechercheJean-François Chassay
Département d'études littéraires
UniversitéUniversité du Québec à Montréal
VilleMontréal
Type de travailMémoire
DiplômeMaîtrise en études littéraires
Mots-cléscorps, danse, enfance, intimisme, maison, mémoire, nostalgie, paysage, phénoménologie
Résumé

Ce mémoire-création est composé de deux parties. La première partie, Une maison au bord du vide, est une série de courts fragments qui font écho au travail de la mémoire. Ces derniers mettent en scène Maude, une jeune femme originaire d'Abitibi-Témiscamingue, qui quitte la maison de son enfance quand une compagnie minière l'achète pour y développer son exploitation. Le récit se compose d'allers-retours en voiture entre Montréal, ville d'accueil où elle ne parvient à être qu'à moitié, et Val-d'Or, où elle retrouve Francis, un ami d'enfance dont la maison se trouve aux limites de la propriété minière. La longue route, entre ces deux lieux, permet à la narratrice de se plonger dans ses souvenirs, redessinant morceau par morceau sa vie passée, depuis sa nostalgie présente. Au fil de ces remémorations, elle reconstruit le récit d'un drame intime, celui-là même qu'elle avait tenté d'oublier en laissant tout derrière elle, sans se retourner. La deuxième partie, intitulée Détours, propose une réflexion sur mon parcours d'écriture en empruntant le schéma de topo-analyse de Gaston Bachelard. Les lieux qui habitent ma pensée, parfois tangibles, parfois métaphysiques, sont envisagés depuis l'approche phénoménologique. En évoquant mon apprentissage du corps par la danse, des récits personnels ou historiques sur l'Abitibi – en particulier de l'industrie minière –, et des extraits de récits d'écrivains de l'enfance, j'emprunte les détours qui tracent mon processus de création.

URLhttp://www.archipel.uqam.ca/10809/1/M13958.pdf
Supervision de recherche: